Belles Histoires de Don : #merci2017

Dans le cadre de notre opération sur La Plus Belle Histoire de Don, nous souhaitons donner envie de donner grâce à de belles histoires de dons. 

Voici des histoires reçues d’associations de solidarité :

1 – La plus belle histoire sélectionnée par le jury :

« Une histoire d’autonomie »

« Alors que j’assurais ma permanence du jeudi à l’accueil de jour du Secours Catholique, une personne se présente devant moi avec un large sourire. Me tendant une enveloppe avec fierté, elle me déclare :
« L’année dernière, vous nous avez aidés en nous donnant 150 € afin que nous puissions ajouter cette somme à celle que nous avions pour régler une caution en vue d’un logement. A notre tour, nous apportons notre aide pour d’autres personnes qui auraient besoin de cette somme. Nous vous remettons 50 € aujourd’hui, et ferons de même en janvier et février ».

Inutile de vous dire combien l’émotion était grande. Cet évènement nous a confortés et stimulés pour poursuivre notre action. Notre objectif d’accompagner les personne vers l’autonomie, se concrétise pleinement dans cette merveilleuse histoire. »

Une histoire de Cécile, bénévole au Secours Catholique, reçue le 7 juin.

2 – La plus belle histoire sélectionnée par le public :

« La générosité des petits comme des grands »

Chez Enfants du Mékong, nous sommes régulièrement témoins d’histoires merveilleuses. Ce qui nous marque particulièrement, c’est la générosité, des petits comme des grands, qui prennent le temps de nous faire confiance et font un don pour notre association. Parfois, cela donne des choses surprenantes. On appelle ça le courrier du cœur. En voici un exemple :

Une histoire reçue le 30 mai sur la page Facebook de Enfants du Mékong.

3 – La 2e plus belle histoire sélectionnée par le public :

Aider les autres donne de la force

« Je suis Béatrice (BMP) et je suis dissociée suite à des séquelles de mon enfance ayant subi de multiple violences sexuelles aussi bien psychologiques et physiques . Je suis toujours sur le blog un régale:)) http://artherapievirtus.org/RAIVVI/ sur et pour la meilleure entraide possible entre victimes de viols par inceste adultes et leurs allié-e-s grâce à nos échanges sur ce blogue. Une communauté virtuelle. Un blogue collaboratif pour que vous puissiez en faire un lieu de mémoires, rassembler les morceaux de votre vie, retrouver ceux que les parties dissociées rendent invisibles. c’est là, sur ce blogue, que je déposes mes tableaux, délicatement au petit matin pour apporter comme un premier rayon de soleil aux personnes qui se lèvent tôt , et qui vont se balader dans ces tableaux et esquisses. Ce sont des formes, ce sont des couleurs dessinées de multiples façons qui volent dans tous les sens. Je me sens entourée du soutien des personnes qui ce trouvent sur ce blogue, en particulier avec Emmanuelle, que j’’appelle mon arc -en- ciel de couleur .Je me bas toujours contre mes troubles dissociatifs , une situation qui reste fragile. Des hauts et des bas sont toujours omni-présents. Et ce blog m’aide énormément à évoluer et panser mes blessures.. Je me suis dit et pourquoi ne pas essayer de transmettre ce que j’apprends sur le blogue , le dessin , l’art thérapie, pourquoi ne pas aller aider à ma façon, en allant donner un peu de mon temps auprès des enfants malades à l’hôpital et tenir compagnie aux parents qui les accompagnent,, les rassurer . Et c’est à partir de là que je suis rentrée à l’association des blouses roses de l’Indre et Loire. Ce que je trouve formidable et ce qui me fait beaucoup de bien c’est d’avoir un sourire d’un enfant au bout de ses lèvres même ci celui est petit mais il est la, et de voir leurs yeux qui pétilles de joie la fin d’une réalisation d’un dessin. Eux qui ont parfois peur du milieux hospitalier et des médecins. .Ce que j’aime, c’est de recevoir une leçon de vie venant de ses enfants tous différents avec leurs personnalités, car ils existent tous selon leur façon d’être. Entendre leurs rires, les entendre parler, les voir se déplacer, même si parfois pour eux ça reste difficile c’est le plus beau rayon de soleil que je ramène chez moi à chaque fois, et c’est ce qui me permet de tenir debout et de continuer de me battre contre mes troubles dissociatifs et surtout à continuer de partager mes tableaux sur le blog Art Thérapie Virtus mes tableaux .Ce sont tous ces petits détails, qui pour certains ne sont rien mais qui pour moi représentent les mots « vie et vivre ». Quand je peins je réfléchie avec mes pinceaux…. »

Une histoire racontée par Béatrice Dromas, pour l’association Art Therapy Virtus, sur Facebook, le 9 juin

Chacun peut être utile à son échelle

« Envie d’en faire encore davantage… Enrichissant ! »

« Alexandre, donateur chez Vision du Monde, parraine depuis 2014 une jeune fille du nom de Seda âgée de 12 ans et inscrite dans le programme de parrainage de Vardenis.
Très investi dans son parrainage, il est retourné à plusieurs reprises en Arménie pour y effectuer du bénévolat et un service volontaire européen. En plus de son parrainage, il a souhaité s’investir davantage et réaliser une collecte de vêtements au bénéfice des familles de la communauté de Vardenis. Au cours de sa première visite, il avait également souhaité être présent en tant que bénévole lors de l’organisation des fêtes de fin d’année organisées pour les enfants du programme. Après une première rencontre avec sa filleule en 2015 au cours de laquelle il a également visité les projets financés par le parrainage, il nous a fait parvenir un témoignage exprimant sa satisfaction et son enthousiasme à continuer de soutenir sa filleule et nos actions.
« J’ai également pu voir les véritables conditions de vie sur place et cela m’a permis de réaliser à quel point nos dons étaient utiles à la communauté. Et cela m’a d’ailleurs donné envie d’en faire encore davantage pour Vardenis et ses habitants. […] lorsque l’on rencontre nos filleuls on crée un lien encore plus fort. »
Après cette rencontre, Alexandre nous a de nouveau contacté pour nous informer qu’il souhaitait retourner en Arménie l’été suivant afin de s’y marier, et qu’à cette occasion il voulait inviter sa filleule avec sa famille, ainsi que les membres de l’équipe locale de Vision du Monde Arménie.
En août 2016, la cérémonie a donc été organisée au monastère arménien de Geghard, situé à proximité de la capitale Erevan. L’équipe arménienne a accompagné la famille sur place et a fait le nécessaire pour faciliter cet évènement. La cérémonie s’est suivie d’un déjeuner au restaurant offert par les mariés. Les festivités ont continué l’après-midi. Seda a ainsi pu faire connaissance avec la petite sœur de son parrain, avec qui elle est, depuis, très bonne amie.
C’était la première fois que nous organisions une visite individuelle aussi particulière et non sans une certaine émotion : un de nos donateurs qui se marie nous en informe et invite notre association à partager son bonheur ; une rencontre organisée en dehors du programme et dans un monastère classé au patrimoine mondial de l’UNESCO qui a permis à un enfant parrainé de découvrir davantage la culture et les richesses de son pays.
Cette visite nous a marqués car elle reflète ce que nous essayons d’offrir au quotidien à nos donateurs : un échange unique, humain et enrichissant à la fois pour eux mais aussi pour les enfants qu’ils parrainent.
https://www.visiondumonde.fr/parrainer-un-enfant/parrains-et-enfants-temoignent »

Une histoire racontée par Matheline, de Vision du Monde, le 9 juin.

« une démarche qui sera reprise par la Fondation »

« Christine a organisé une collecte lors de son anniversaire pour l’accès à l’eau des populations démunies et l’a reversé à la Fondation France Libertés :

C’est une belle histoire de don, car cette lettre a été une source d’inspiration pour la fondation. L’anniversaire, événement festif, convivial, s’est transformé en moment solidaire. Un don qui montre que la générosité s’enracine dans le quotidien et que c’est dans les évènements de tous les jours qu’elle s’exerce. »
 

Une histoire racontée par la Fondation France Libertés sur Facebook, le 7 juin.

« La considération qu’il m’a portée »

« Après avoir fui la crise politique en Côte d’Ivoire, Falilou est arrivé en France à l’âge de 15 ans, espérant trouver une terre plus accueillante. Grâce au parrainage de proximité, il a pu passer de bons moments et redécouvrir la vie de famille aux côtés de Brigitte, sa marraine bénévole. Par l’intermédiaire de France Parrainages qui connaît sa passion pour le Taekwondo, il rencontre ensuite son nouveau parrain Jean-François Sarr, champion de Taekwondo lors de multiples compétitions nationales et internationales : « Il m’a beaucoup aidé et m’a notamment donné des conseils pour devenir meilleur en taekwondo. La considération qu’il m’a portée a été très importante pour moi. » Ce coaching a été déterminant : à force de persévérance, en 2015, Falilou a remporté le titre de champion de France ! « Ces expériences m’ont marqué à vie, les parrains font cela pour la bonne cause […] Pour moi, ils remplacent des frères, des cousins, une famille. » »

De réfugié politique à champion de France de Taekwondo, découvrez la belle histoire du jeune Falilou

Une histoire communiquée par Manon pour l’association France Parrainages, reçue le 8 juin.

« ils cheminent avec moi »

« Cristina* est une jeune Péruvienne qui vit dans un bidonville de Lima. Elle partage une toute petite pièce avec sa sœur qui souffre d’un handicap et son père qui lutte contre son addiction à l’alcool. Elle s’occupe d’eux avec un grand dévouement et grâce à l’aide financière de son parrain et de sa marraine, dont elle bénéficie depuis l’âge de 8 ans. Ils sont présents dans leur vie au quotidien car ils ont largement contribué à améliorer leurs conditions de vie. Au-delà de cette aide matérielle, « mes parrains m’ont toujours encouragée à réussir ma scolarité, à faire des études pour décrocher un emploi qui me plairait. Ils cheminent avec moi et me donnent des repères, fixent des règles pour m’aider à grandir. » Aujourd’hui, ils sont fiers d’elle, car elle poursuit des études de droit à l’Université et s’apprête à devenir avocate. »
* Le prénom a été changé.

Plus de belles histoires d’enfants parrainés sur notre site.

Une histoire communiquée par Manon pour l’association France Parrainages, reçue le 8 juin.

« un objet devenu totem »

« Philippe Starck, le grand designer français, a offert à la Fondation France Libertés un objet : la feuille d’eau. Il s’agit d’une gourde que l’on remplit d’eau du robinet et que l’on peut emporter facilement partout.
La feuille d’eau de Starck, c’est un don multiple : le don de son nom, le don d’une idée, le don d’un concept pour un objet devenu totem.
Et cela pour un impact immense : France Libertés a diffusé la feuille d’eau à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires depuis 2010. La gourde génère des bénéfices directement reversés à nos actions pour les droits humains, mais elle est également objet de sensibilisation, symbole d’engagement. Elle porte partout notre message : « bien commun de l’humanité, l’eau n’a pas de prix ». »

Une histoire racontée par la Fondation France Libertés sur Facebook, le 8 juin.

« un bénévole formidable »

« Bonjour l’équipe de Webassoc avec laquelle nous avons échangé sur notre association plusieurs fois dans des lieux différents…

« Un par un » : accrocher des étoiles dans le ciel des enfants

« Un par un
Cela fait plusieurs mois maintenant que je cherche une idée.
Pourtant c’est mon domaine, avoir des idées.
Les coucher sur le papier.
Ce n’est même pas le syndrome de la page blanche.
J’écris.
Mais voilà je me gratte la tête, je mâchonne mon crayon, je froisse du papier, je rate la poubelle.
Rien n’y fait.
Ce projet est tellement important pour moi que je ne trouve rien à la hauteur.
Et plus je pense aux autres petites nouvelles que j’ai écrites d’une traite, dont l’idée m’est tombée du ciel sans que je ne demande rien, et plus ça me rend folle et improductive.
Pour tout vous dire, puisque vous êtes là, mon idée de base était de raconter l’histoire d’un homme riche qui, arrivé à la cinquantaine contemplerait une quantité de choses matérielles à ses pieds en se rendant compte qu’il manque l’essentiel. Une amie lui aurai proposé de devenir parrain. Un petit garçon serait entré dans son quotidien ronronnant. Et cette rencontre aurai changé sa vie.
Plus cliché que ça, c’est difficile à faire.
Et un cliché, ce n’est vraiment pas à la hauteur.
Alors j’ai décidé de vous raconter la vraie histoire.
Commençons par le commencement.
J’ai une amie merveilleuse. Vous savez ce genre de personne qui illumine une pièce de sa présence. Une de ces âmes si rare qui vivent pour faire le bien autour d’elles. Qui donnent sans compter dans de grands éclats de rire. Un jour, elle m’a parlé d’une association et de son parcours de marraine. Dans son regard pétillant et malicieux j’ai vu une invitation que je ne pouvais pas refuser. Je me suis dis que j’en avais vraiment envie, que c’était le bon moment.
Quelques semaines plus tard j’ai reçu un prospectus.
J’ai rempli les cases, j’ai envoyé une lettre.
Rien de plus banal.
Et puis un jour j’ai reçu sa photo.
Pardon mais il n’y a pas de mots pour décrire cet instant précis.
Ce petit garçon que je ne connaissais pas est entré dans ma vie comme un supplément de bonheur.
Youssoupha est un enfant qui va bien, il n’est pas entrain de mourir de faim.
Il est heureux dans sa famille, entouré de ses parents, de ses frères et sœurs, de son oncle.
Je ne suis pas là pour le sauver.
Il n’a pas besoin d’être sauvé.
Je suis sa marraine, et moi qui est la chance d’avoir beaucoup, je partage un peu avec lui, sa famille, son village.
Je prends de ses nouvelles, il m’envoie des dessins (et depuis je sais que les couleurs racontent des choses extraordinaires), mes enfants lui adresse des petits cadeaux. Pas des choses achetées dans les magasins, des petits bracelets fabriqués, des coloriages appliqués.
Grâce à Youssoupha et sa famille, mes enfants parlent d’Afrique.
Si un jour mon filleul fait de grandes études pour devenir médecin et soigner les gens de son village, je serais très fière de lui.
Si un jour il reprend le garage où son père travaille, je serais très fière de lui.
Si un jour il veut avoir une vie simple, je serais très fière de lui.
Je voudrais trouver les mots pour vous donner envie de parrainer à votre tour un enfant.
Je voudrais trouver les mots pour qu’un jour, en réalisant mon projet de soutien à l’association Un enfant par la main, Youssoupha soit fier de moi.

Vous savez pour moi quelle est la définition d’un parrain　?
C’est une personne qui accroche des étoiles dans le ciel des enfants et qui les accompagnent pour réaliser leurs rêves, un par un. »

Une histoire de Christel, pour l’association Un Enfant Par la Main, reçue le 15 mai 2017.

>> Vous aussi, participez !
Racontez de belles histoires de dons, donnez envie de vous donner, et gagnez peut-être 1 formation crowdfunding ou 1 audit de votre site web !
Détails de l’opération